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La théorie polyvagale et l’hypnose
Comprendre et Réguler le Système Nerveux

La théorie polyvagale nous aide à comprendre pourquoi nous réagissons de certaines manières, et l’hypnose offre des solutions concrètes pour réguler ces réactions.

L'aérophobie et l'hypnose

En combinant ces approches, sans nous limiter, nous pouvons retrouver un équilibre et une meilleure maîtrise de notre système nerveux autonome, une meilleur socialisation, pouvoir revivre enfin !

 

José Colleatte hypnologue à Brive

José Colleatte hypnologue à Brive

hypnose Brive > José ColleatteJosé Colleatte - hypnologue à BriveDepuis 10 ans, je me consacre exclusivement à l’accompagnement en cabinet de personnes en quête de changement. Après plusieurs années de pratique en coaching, j’ai rapidement constaté que les outils...

Vous habitez Brive ou sa région, je vous accueille 7, rue Saint Grégoire à Brive La Gaillarde.

Le trauma, c’est un processus bloqué. Une énergie qui aurait dû être déchargée (fuite, combat, expression émotionnelle, etc.) mais qui est restée coincée dans le système nerveux et le corps. Que ce soit chez Levine, dans le Somatic Experiencing, ou même dans les approches inspirées de Porges, l’idée fondamentale reste la complétion des cycles biologiques et émotionnels inachevés.

Le travail consiste à permettre au corps d’atteindre la résolution de cette réponse bloquée.

Pourquoi s’intéresser à la théorie polyvagale ?

En tant qu’êtres humains, nous scrutons constamment notre environnement à la recherche de sécurité et de danger.

Si vous avez l’impression d’être immobilisé de manière excessive ou si vous voyez des signes de danger plus souvent que vous ne le devriez, il peut être utile de faire des exercices pour calmer le nerf vague (respiration, meditation). La plupart du temps et sans nier l’impact des exercice c’est dans le cadre d’un accompagnement structuré que la source même de ce mal-être peut être appréhendé, ce type de mécanismes s’originant le plus souvent dans un épisode traumatique.

La théorie polyvagale, développée par Stephen Porges, est une véritable révolution dans la compréhension des réactions du système nerveux autonome face au stress, au trauma et à la régulation émotionnelle. Son intérêt majeur ? Elle nous offre un modèle éclairant sur comment notre corps et notre esprit réagissent aux menaces perçues et comment nous pouvons les réguler.

Dans cet article, nous allons voir comment cette théorie se connecte naturellement à l’hypnose et à d’autres approches thérapeutiques, permettant de mieux comprendre nos blocages et d’accéder à un changement profond.

Le système nerveux

Avant d’aller plus loin, prenons quelques lignes pour bien comprendre de quoi il s’agit.

Le système nerveux est une structure sophistiquée qui assure deux fonctions essentielles : collecter les informations de l’ensemble du corps et coordonner toute activité corporelle. Il se divise en deux composantes majeures : le système nerveux central et le système nerveux périphérique.

Le système nerveux central

Ce système comprend deux éléments fondamentaux :

Le cerveau : véritable centre de commandement logé dans notre crâne, il est constitué de milliards de neurones interconnectés. Cette structure complexe orchestre la quasi-totalité des fonctions corporelles et constitue le siège de nos capacités intellectuelles.

La moelle épinière : elle forme un réseau dense de fibres nerveuses qui relie la majorité des parties du corps au cerveau, agissant comme une autoroute de l’information.

Le système nerveux périphérique

Ce système englobe l’ensemble des nerfs situés en dehors du cerveau et de la moelle épinière. Il comprend deux réseaux distincts :

Le système nerveux somatique (volontaire) assure la communication bidirectionnelle entre les muscles et le cerveau. Il transmet les ordres de mouvement du cerveau vers les muscles et renvoie les informations sensorielles du corps vers le système nerveux central.

Le système nerveux autonome (involontaire) régule le fonctionnement des organes internes et des glandes. Il gère automatiquement les fonctions vitales comme la respiration, les battements cardiaques ou la digestion, sans nécessiter notre attention consciente.

La vision historique de la détection du danger

Historiquement, le système nerveux autonome était compris comme ayant deux branches complémentaires :

Le système nerveux sympathique, considéré comme responsable de la préparation de l’organisme face au danger en déclenchant la réponse « combat ou fuite ». On lui attribuait notamment la stimulation de la production d’adrénaline par les glandes surrénales.

Le système nerveux parasympathique, vu comme le système favorisant le retour au calme en ralentissant le rythme cardiaque, en facilitant la digestion et en diminuant la tension artérielle. Il était couramment appelé système « repos et digestion ».

Cette compréhension binaire du système nerveux autonome a été significativement enrichie par les travaux de Stephen Porges et sa théorie polyvagale, qui a mis en évidence une troisième branche et une compréhension plus nuancée de ces mécanismes.

Aujourd’hui, la théorie polyvagale de Porges et l’existence de ces trois branches du système nerveux autonome sont largement acceptées dans la communauté scientifique. Ses travaux ont été validés par de nombreuses recherches ultérieures. Il existe encore quelques points de discussion dans la communauté scientifique qui ne portent plus sur l’existence de ces trois branches elles-mêmes.

Qu’est-ce que la théorie polyvagale ?

Le système nerveux autonome est une architecture complexe

Le système nerveux autonome (SNA) gère donc donc réactions instinctives face aux situations perçues comme sécurisantes ou menaçantes. Porges a mis en évidence une hiérarchie des réponses autonomes, organisées autour du nerf vague, qui connecte le cerveau au reste du corps.

Il distingue trois grandes voies de régulation :

  • Le système ventro-vagal (calme et connexion) : Quand ce système est actif, nous nous sentons en sécurité et ouverts à la communication.
  • Le système sympathique (mobilisation) : En cas de menace, il active notre réponse de fuite ou de combat.
  • Le système dorso-vagal (effondrement et figement) : En cas de danger extrême, il provoque un repli total, une dissociation ou un état de sidération.

Ce que cela signifie concrètement ? Nos réactions face au stress et aux traumas ne sont pas uniquement « psychologiques », elles sont aussi neurophysiologiques.

Cette perspective révolutionne notre compréhension du stress, du trauma et des réactions physiologiques aux menaces.

Porges identifie trois voies hiérarchiques de réponse, chacune associée à une branche spécifique du nerf vague. Ces réponses suivent un ordre évolutif, depuis les réactions les plus primitives de survie jusqu’aux comportements sociaux sophistiqués permettant la connexion et la régulation émotionnelle.

Lorsqu’un être humain est en sécurité, il se connecte aux autres. Son système nerveux est alors dans un état d’engagement social : il se sent calme, à l’aise, capable de parler, de rire et d’interagir. Cet état est permis par la partie ventrale du nerf vague, qui joue un rôle clé dans la régulation des émotions et des relations sociales. Ce circuit, propre aux mammifères et particulièrement développé chez l’humain,et favorise donc un état de sécurité physiologique grâce à des interactions telles que le contact visuel, le ton de la voix et les expressions faciales.

Lorsqu’une personne est en sécurité et en lien avec son environnement, ce système permet un état de calme et de flexibilité émotionnelle, favorisant les apprentissages et l’adaptation sociale.

Si une menace survient, ce circuit de connexion peut être temporairement désactivé pour permettre une mobilisation . C’est à ce moment-là que le système nerveux sympathique prend le relais, libérant de l’adrénaline pour préparer le corps à fuir ou à se défendre. Ce mécanisme est utile et nécessaire pour affronter des situations exigeant une action rapide. Cette voie évolutive est apparue chez les mammifères plus complexes, leur permettant de répondre efficacement à des dangers immédiats.

Une activation prolongée de cette voie peut mener à une hypervigilance et à des troubles anxieux

Cependant, si le danger est perçu comme trop grand ou inévitable, et que ni la lutte ni la fuite ne sont envisageables, alors le corps bascule vers un état plus primitif d’immobilisation. Ce mode est contrôlé par la branche dorsale du nerf vague (Ce circuit archaïque, que nous partageons avec les reptiles), qui provoque un ralentissement du métabolisme, un engourdissement et parfois même une sensation de détachement de la réalité. Ce mécanisme est similaire à celui observé chez certains animaux qui feignent la mort pour échapper à un prédateur.

Chez l’humain, il est impliqué dans des états de dissociation ou d’effondrement psychique face à un stress extrême (le traumatisme psychique).

L’hypnose, une passerelle entre corps et esprit

Si nous savons aujourd’hui que la méditation, le yoga ou encore l’activité physique influencent directement notre bien-être en modulant nos rythmes biologiques, il est essentiel de comprendre que notre manière de penser, ressentir et imaginer joue aussi un rôle déterminant dans notre équilibre neurophysiologique.

L’hypnose permet d’explorer et de réorganiser les représentations mentales qui influencent nos émotions et nos comportements. Nos expériences passées façonnent nos perceptions et conditionnent notre manière de réagir aux événements. Certaines personnes, à cause de leur histoire personnelle, ont appris à percevoir l’autre comme une menace ou à associer certaines émotions, comme la colère, à un danger qu’il faut éviter à tout prix. Ces apprentissages peuvent enfermer dans des schémas rigides et empêcher toute adaptation fluide aux relations humaines.

Grâce à l’état hypnotique, il devient possible de revisiter ces schémas et d’en modifier les effets. Le cerveau, lorsqu’il est plongé dans une transe, ne fait pas la différence entre ce qu’il imagine et ce qu’il vit réellement. Cette propriété permet de rejouer des scènes passées, d’y apporter des modifications, et ainsi d’envoyer un signal correcteur au système nerveux.

Peter Levine a mis en évidence que, face à un danger, notre corps doit pouvoir soit fuir, soit combattre pour éviter de se figer dans un état de sidération. Si cette possibilité d’action a été empêchée, le traumatisme reste comme « figé » dans le corps. En hypnose, on peut rejouer ces moments et permettre à l’organisme d’achever l’action nécessaire, aidant ainsi à libérer des tensions accumulées.

Sur un plan plus large, l’hypnose stimule également des circuiteries neurochimiques essentielles à la motivation et au bien-être. Lorsqu’un individu retrouve une capacité à s’engager dans des actions ou à envisager des relations plus sereines, ses systèmes sérotoninergiques (régulation de l’humeur), dopaminergiques (motivation) et ocytocinergiques (engagement social, confiance) sont sollicités, favorisant une dynamique positive.

Les bénéfices de l’hypnose ne se limitent pas à un travail sur le passé. En modifiant notre manière d’imaginer l’avenir, elle permet également d’explorer des possibilités nouvelles, facilitant ainsi le passage à l’action et la transformation des comportements.

L’hypnose, un levier puissant pour l’engagement social et émotionnel

L’hypnose se révèle être un outil particulièrement puissant pour accompagner le processus de régulation du système nerveux autonome. Elle agit à plusieurs niveaux : en modifiant les représentations mentales, en permettant une libération des émotions bloquées, et en réactivant des mécanismes de socialisation qui avaient pu être inhibés par des expériences passées.

Plutôt que d’imposer un changement forcé, elle permet une transformation progressive et respectueuse, en offrant aux individus de nouvelles façons de percevoir, de ressentir et d’interagir avec le monde. En rétablissant l’équilibre entre les différentes branches du système nerveux autonome, elle favorise un état de sécurité intérieure propice à l’épanouissement personnel et relationnel.

Dans cette dynamique, elle complète et enrichit les approches visant à améliorer la régulation émotionnelle et physiologique, en permettant à chacun de retrouver un état de flexibilité et d’adaptation, essentiel à une vie équilibrée et sereine.

Applications concrètes en accompagnement

Gérer l’anxiété et les phobies

Si un patient est coincé en mode hypervigilance sympathique, nous allons travailler à restaurer un sentiment de sécurité, en passant par l’exploration des réponses corporelles et la mise en place de signaux internes apaisants.

Accompagner les traumas

Dans le cas d’un trauma, le patient peut alterner entre états de figement et hyperactivation. L’hypnose permet d’accéder à l’expérience traumatique sans être submergé et de travailler sur la régulation des réponses associées.

Retrouver un sentiment de maitrise sur ses émotions

Beaucoup de personnes ont l’impression que « leur corps réagit sans leur accord ». En combinant théorie polyvagale et hypnose, nous pouvons renouer avec des sensations de stabilité et de présence à soi.

Passer de la Compréhension à l’Action

Vous vous sentez bloqué dans une anxiété persistante, un figement face à certaines situations, ou une impression de ne pas avoir le contrôle sur vos réactions internes, sachez qu’il est possible d’agir concrètement.

A brive, je vous propose un accompagnement personnalisé pour réguler votre système nerveux et sortir des schémas qui semblent vouloir se répéter sans cesse.

Une approche adaptée à votre propre mode de fonctionnement, en intégrant hypnose, neurosciences et régulation somatique.

Sentez vous libre de prendre un premier rendez-vous, afin que nous discutons de vos problèmes précis et de comment les accompagner.

Etudes scientifiques et sources à propos de la théorie polyvagale

La théorie polyvagale : de nouvelles perspectives sur les réactions adaptatives du système nerveux autonome

Alors que les noyaux sources des voies efférentes vagales primaires régulant le cœur sont passés du noyau moteur dorsal du nerf vague chez les reptiles au noyau ambigu chez les mammifères, une connexion visage-cœur a évolué avec les propriétés émergentes d’un système d’engagement social qui permettrait aux interactions sociales de réguler l’état viscéral. (voir)

La théorie polyvagale et son potentiel clinique

La théorie polyvagale explique la physiopathologie du traumatisme et divers symptômes physiques associés au dysfonctionnement du complexe vagal ventral. De plus, cela pourrait potentiellement être utile en tant que théorie fondamentale en psychothérapie, dans laquelle la qualité de l’interaction sociale est essentielle.(voir)

Théorie polyvagale : une science de la sécurité

Les stratégies contemporaines en matière de santé et de bien-être ne répondent pas à nos besoins biologiques en ne reconnaissant pas que les sentiments de sécurité émergent d’états physiologiques internes régulés par le système nerveux autonome. (voir)

Théorie polyvagale : un voyage biocomportemental vers la socialité

le comportement social s’est intégré à des processus neurobiologiques spécifiques qui avaient la capacité de soutenir les fonctions homéostatiques conduisant à une santé, une croissance et une restauration optimisées. La théorie polyvagale met l’accent sur la socialité comme processus central pour atténuer les réactions de menace et soutenir la santé mentale et physique.(voir)

Engagement social et attachement : une perspective phylogénétique

Cet article met l’accent sur l’importance de l’engagement social et sur les mécanismes comportementaux et neurophysiologiques qui permettent aux individus de réduire la distance psychologique et physique. Un modèle d’engagement social dérivé de la théorie polyvagale est présenté. (voir)

The Polyvagal Theory: Neurophysiological Foundations of Emotions, Attachment, Communication, and Self-Regulation.
Ouvrage fondateur de Stephen Porges qui introduit la théorie polyvagale, expliquant comment le système nerveux autonome régule nos réponses au stress à travers une hiérarchie évolutive des réactions (engagement social, mobilisation et immobilisation). Porges, S. W. (2011). 

The Feeling of What Happens: Body and Emotion in the Making of Consciousness.
Théorie selon laquelle la conscience de soi émerge d’un processus intégrant les signaux corporels et les circuits cérébraux impliqués dans l’homéostasie et l’émotion. Damasio, A. R. (1999). 

The Science of the Art of Psychotherapy.
Étude approfondie du développement affectif, du rôle du système nerveux autonome dans la régulation des émotions et de l’attachement. Schore, A. N. (2012). 

The Body Keeps the Score: Brain, Mind, and Body in the Healing of Trauma.
Livre majeur explorant comment le traumatisme s’inscrit dans le corps et modifie le fonctionnement cérébral, notamment à travers les interactions entre l’amygdale, l’hippocampe et le cortex préfrontal. Van der Kolk, B. A. (2014). 

 

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