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Hypnose classique
La suggestion directe et les approches directives

Le terme hypnose classique désigne généralement l’approche de l’hypnose développée entre le XIXe et le début du XXe siècle, qu’on tend à décrire comme caractérisée par des inductions autoritaires et des suggestions directes, nous en discutons ici, les choses ne sont pas si claires et les approches diffèrent.

L'aérophobie et l'hypnose

L’hypnose classique prend véritablement forme avec James Braid, qui introduit en 1843 le terme hypnotisme pour décrire un état particulier de concentration et de suggestibilité. Ce modèle se distingue du magnétisme animal de Mesmer en abandonnant l’idée d’un fluide universel pour se concentrer sur des processus psychologiques internes.

Séance d’hypnose

Individuelle

José Colleatte hypnologue à Brive

José Colleatte hypnologue à Brive

hypnose Brive > José ColleatteJosé Colleatte - hypnologue à BriveDepuis 10 ans, je me consacre exclusivement à l’accompagnement en cabinet de personnes en quête de changement. Après plusieurs années de pratique en coaching, j’ai rapidement constaté que les outils...

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Charcot et l’École de la Salpêtrière (fin XIXe) jouent un rôle fondamental dans la structuration de ce qui est encore aujourd’hui désigné comme de l’hypnose classique. Charcot la considère comme un état pathologique lié à l’hystérie et développe des inductions spectaculaires, renforçant l’idée d’une hypnose rigide, où le sujet est soumis à l’autorité de l’hypnotiseur. En opposition, Bernheim et l’École de Nancy insistent sur le rôle de la suggestion et montrent que l’hypnose est un phénomène normal et accessible à tous, non limité aux personnes atteintes d’hystérie.

L’hypnose classique domine jusqu’au milieu du XXe siècle, avant d’être nuancé par des approches plus souples comme celle de Milton Erickson, qui introduit une hypnose plus permissive et adaptée aux particularités individuelles.

Cet article fait suite à l’article sur le mesmérisme et le magnétisme animal.

L’Abbé Faria : précurseur de l’hypnose moderne

L’Abbé Faria (1756-1819), prêtre d’origine indo-portugaise, occupe une place singulière dans l’histoire de l’hypnose. Contrairement à Mesmer et à ses disciples, qui attribuaient le phénomène hypnotique à un mystérieux « fluide magnétique », Faria fut l’un des premiers à proposer une explication psychologique de l’état hypnotique. Son parcours atypique, de l’Inde à Paris en passant par Rome, enrichit sa compréhension des états de conscience modifiés. Prêtre catholique d’origine brahmane, il développe une approche novatrice qui rompt radicalement avec les théories de Mesmer.

Il rejete donc les conceptions de Mesmer et démontre que l’état de transe n’est pas induit par un magnétisme externe, mais bien par des capacités internes au sujet. Il met en avant l’idée selon laquelle la suggestion et la concentration jouent un rôle central dans l’induction de la transe, posant ainsi les premières pierres des futures théories sur la suggestibilité.

Il développe ses séances en utilisant une induction directe. Il demande, par exemple, à ses sujets de fixer leur attention et d’entrer dans un état de concentration intense avant de leur donner un ordre bref et autoritaire, comme « Dormez ! ». Cette approche, fondée sur l’autorité de l’opérateur et la réceptivité du sujet, anticipait de plusieurs décennies les pratiques des hypnotistes modernes.

Bien que très en avance sur son temps, l’Abbé Faria ne reçut pas la reconnaissance qu’il méritait de son vivant. Ses théories ont largement été ignorées jusqu’à ce que James Braid, à la fin du XIXe siècle, reconnaissent l’importance de ses découvertes et intègrent la suggestion comme un élément fondamental de l’hypnose.

Ces idées novatrices ont influencé James Braid puis les écoles de la Salpêtrière et de Nancy bien que les magnétiseurs l’ont activement combattu, allant jusqu’à interdire toute référence à ses enseignements dans leurs revues et que les historiens majeurs de l’hypnose (Binet et Féré, Bramwell, Podmore, Janet, Hull, et Ellenberger) ne lui accordent que peu d’attention.

James Esdaile et l’analgésie magnétique

James Esdaile (1808-1859) était un chirurgien écossais qui a marqué l’histoire pour son utilisation du magnétisme animal dans un but médical, notamment en chirurgie. Travaillant en Inde britannique, il a expérimenté des états de transe profonde pour réduire la douleur lors d’interventions chirurgicales majeures, anticipant ainsi les avancées en anesthésie moderne.

Influencé par le mesmerisme, notament par le biais de Lafontaine (un magnétiseur français), Esdaile croyait en l’existence d’un fluide magnétique capable d’altérer l’état de conscience des patients. Il mettait ses patients dans un état de coma magnétique, une forme de catalepsie profonde, avant de pratiquer des chirurgies lourdes comme des amputations ou des ablations de tumeurs. A une époque ou les anesthésiques n’étaient pas encore à la mode, c’était une avancée majeure…

Cependant, malgré ces succès, et bien que reconnu dans ses travaux par le gouvernement britanique qui lui avait offert un poste de médecin superviseur, Esdaile a été confronté au scepticisme du monde médical. Avec l’essor de l’anesthésie chimique dès 1846 (éther, chloroforme), son approche est rapidement tombée en désuétude. De plus, l’avènement de l’hypnose avec James Braid a progressivement relégué le magnétisme animal à un statut pseudo-scientifique.

L’état esdaile, une quête pour certains hypnotiseurs

Ce qui est intéressant, vous allez me dire que je suis taquin, c’est qu’a l’heure actuel, beaucoup d’hypnotiseurs, qu’ils s’inscrivent dans une visée psychothérapeutique ou dans le cadre de l’hypnose de spectacle, visent à créer des états de transe dits « esdaile ». Pour ce faire, des inductions de détente plus ou moins directe comme « vous descendez d’un étage et serez alors deux fois plus détendu » Ne viennent pas d’esdaile…

En effet, Esdaile utilisait un processus en plusieurs étapes pour plonger ses patients dans un état de transe profonde.Avant une intervention, Il plaçait le patient dans une pièce calme, à l’abri des stimulations extérieures. Il estimait que la privation sensorielle partielle favorisait l’induction de l’état magnétique.Le patient était ensuite invité à fixer un point ou à se concentrer sur un stimulus spécifique. On lui demandait d’adopter une posture détendue, encourageant la passivité mentale et la réceptivité.

Il effectuait ensuite des passes longitudinales le long du corps, sans contact direct. Ces passes étaient lentes, répétées et dirigées du haut vers le bas, comme pour « canaliser » l’énergie et induire une lourdeur dans les membres. Il accordait une attention particulière à la région de la tête et du plexus solaire, considérés comme des centres de réception énergétique.

Contrairement aux hypnotiseurs qui allaient émerger après lui, Esdaile utilisait très peu de suggestions verbales. Il se contentait de parler d’une voix monocorde et apaisante, insistant sur la détente et la somnolence. Il observait la respiration du patient et l’encourageait à la ralentir pour amplifier l’état de transe. Peu à peu, le patient ressentait une sensation de lourdeur, suivie d’une perte de la perception du corps jusqu’a obtenir des catalepsie complètes.

Il semble donc que ce que certains appelle des inductions « esdaile » soit en réalité le fruit du travail de Dave Elman (un hypnotiseur du XXeme siècle).

James Braid et la naissance de l’hypnotisme

En novembre 1841, à Manchester, un événement fortuit bouleverse l’histoire des états modifiés de conscience. James Braid, chirurgien écossais, assiste à une démonstration de magnétisme animal donnée par le Docteur La Fontaine. Son observation critique de la séance le conduit à une conclusion révolutionnaire : les effets observés ne proviennent ni d’un fluide magnétique, ni d’une force mystérieuse, mais d’un processus physiologique lié à la concentration intense du regard.

Braid introduit le terme « hypnotisme », dérivé du grec « hypnos » (sommeil). Ce choix terminologique, bien qu’imparfait – l’état hypnotique n’étant pas vraiment du sommeil – marque une rupture définitive avec le vocabulaire du magnétisme animal. Cette nouvelle dénomination s’accompagne d’une « théorisation neurophysiologique du phénomène », du point de vue des connaissances médicales de l’époque.

La contribution majeure de James Braid réside moins dans ses découvertes que dans sa méthodologie. Là où le magnétisme animal s’appuyait sur des démonstrations spectaculaires et des théories invérifiables autour d’un mystérieux fluide, Braid introduit une démarche systématique d’observation et d’expérimentation. Il développe des protocoles standardisés, documente précisément ses observations et cherche à reproduire les phénomènes dans des conditions contrôlées. Cette approche méthodique marque une rupture fondamentale avec les pratiques antérieures.

En effet, il tente d’expliquer les phénomènes observés par des mécanismes neurologiques connus, développant ainsi un cadre théorique. Il ouvre la voie à une compréhension « rationnelle » de l’hypnose. Cette double révolution, méthodologique et conceptuelle, justifie pleinement qu’on le considère comme le fondateur de l’hypnotisme scientifique.

Ambroise-Auguste Liébeault, la naissance de l’hypnose thérapeutique

Ambroise-Auguste Liébeault (1823-1904), médecin français, est le véritable fondateur de l’hypnose moderne à visée thérapeutique. Contrairement à Esdaile, qui s’intéresse principalement à l’analgésie, Liébeault développe une approche basée sur la suggestion verbale et l’induction progressive.

L’hypnose de Liébeault repose sur la parole et la relation entre l’hypnotiseur et le patient. Il demande au patient de fixer son regard sur un point pour focaliser son attention. puis propose des duggestions verbales progressives sur la détente musculaire et la lourdeur des paupières. Il propose des encouragements constants pour renforcer la suggestion (« vous vous sentez de plus en plus calme », « vos bras deviennent lourds et détendus »).
Liébeault insiste sur le fait que toute personne réceptive peut être hypnotisée.

Le débat historique à propose de l’hypnose

À la fin du XIXe siècle, l’hypnose a déjà connu des développements majeurs. L’Abbé Faria avait établi dès 1819 l’importance de la suggestion et rejeté l’existence du fluide magnétique. James Braid, en 1841, avait poursuivi cette démystification en proposant une explication neurophysiologique et en introduisant le terme « hypnose ». C’est dans ce contexte que va émerger une confrontation historique entre deux écoles de pensée.

Charcot et l’école de la Salpêtrière

Jean-Martin Charcot (1825-1893), figure dominante de la neurologie française, découvre l’hypnose lors d’une démonstration publique à laquelle l’invite son interne Paul Richer. Il y voit immédiatement un outil pour étudier l’hystérie, sa préoccupation principale. Fait marquant, il fait venir à la Salpêtrière l’hypnotiseur Donato pour former ses internes.

Paradoxalement, Charcot s’éloigne des acquis de Faria et Braid. Il développe une vision de l’hypnose comme état pathologique, propre aux hystériques, qu’il décrit en trois phases : léthargie, catalepsie et somnambulisme. Ses célèbres « leçons du mardi » attirent un public prestigieux, dont Sigmund Freud et Vladimir Bechterev, pour assister à des démonstrations spectaculaires immortalisées dans le tableau d’André Brouillet.

Bernheim et l’école de Nancy

À Nancy, Hippolyte Bernheim développe une approche radicalement différente. Plus fidèle aux intuitions de Faria, il considère l’hypnose comme un phénomène psychologique normal, accessible à toute personne réceptive à la suggestion. Sa découverte de l’hypnose est empirique : d’abord sceptique, il est convaincu par les succès thérapeutiques d’Ambroise-Auguste Liébeault, qui traite diverses affections par suggestion hypnotique.

Un conflit fondamental

Le débat entre la Salpêtrière et l’école de Nancy cristallise une opposition fondamentale dans la conception de l’hypnose. Charcot, à la Salpêtrière, étudie l’hypnose exclusivement sur des patientes hystériques, développant une théorie qui associe étroitement ces deux phénomènes. Pour lui, l’hypnose représente un état neurologique pathologique, une manifestation de l’hystérie qu’il décrit à travers trois phases distinctes. Cette vision, soutenue par son autorité considérable dans le monde médical, marque profondément la psychiatrie française. On en trouve encore l’influence dans le manuel de psychiatrie d’Henri Ey, référence des psychiatres pendant cinquante ans.
À Nancy, Bernheim développe une approche radicalement différente, fondée sur l’observation clinique d’un large éventail de patients. Il démontre que l’hypnose n’est pas limitée aux hystériques mais accessible à la majorité des individus. Pour lui, le phénomène hypnotique repose essentiellement sur la suggestion. Ses succès thérapeutiques, documentés sur des patients souffrant de diverses affections, étayent sa théorie. Cette conception, plus proche des observations de l’Abbé Faria sur l’importance de la suggestion, gagne progressivement en influence après la mort de Charcot en 1893.

L’émergence d’une approche scientifique de l’hypnose

Pierre Janet occupe une position unique dans l’histoire de l’hypnose, se situant à la croisées des chemins entre les écoles de la Salpêtrière et de Nancy. Bien qu’élève de Charcot, il développe une vision plus nuancée et complète du phénomène hypnotique. Janet introduit le concept de dissociation psychologique, qu’il observe initialement chez les patients hystériques mais étend ensuite à une compréhension plus large des mécanismes psychologiques. Sa contribution majeure réside dans l’établissement d’un pont entre l’hypnose clinique et la psychologie expérimentale.

Les travaux de Janet influencent profondément Clark Hull, qui publie en 1933 « Hypnosis and Suggestibility: An Experimental Approach ». Hull applique pour la première fois les méthodes de la psychologie expérimentale à l’étude de l’hypnose. Il développe des protocoles rigoureux pour mesurer la suggestibilité et la profondeur hypnotique. Ses recherches démontrent que l’hypnose peut être étudiée scientifiquement, ouvrant la voie à une compréhension plus systématique des phénomènes hypnotiques. Hull établit notamment que la suggestibilité varie selon les individus et que l’état hypnotique peut être quantifié.

Dave Elman, bien que moins académique dans son approche, apporte une contribution significative à la pratique de l’hypnose au XXe siècle. Son expérience d’hypnotiseur de spectacle, combinée à une collaboration étroite avec le corps médical, lui permet de développer des techniques d’induction rapide particulièrement efficaces. L’induction Elman, encore utilisée aujourd’hui, se caractérise par sa rapidité et son efficacité. Elle repose sur trois éléments clés : la relaxation physique, la relaxation mentale et la focalisation de l’attention.

Elman forme des milliers de professionnels de santé à l’utilisation de l’hypnose médicale. Sa méthode, pragmatique et directe, contraste avec les approches plus théoriques de ses contemporains. Il met l’accent sur l’importance de la communication avec le patient et sur la nécessité d’obtenir une participation active du sujet. Ses techniques d’approfondissement et son échelle de profondeur hypnotique deviennent des références dans le domaine.

Ces trois figures illustrent l’évolution de l’hypnose vers une pratique plus structurée et scientifique. Janet pose les bases théoriques d’une compréhension psychologique moderne. Hull apporte la rigueur de la méthode expérimentale. Elman développe des applications pratiques efficaces. Leurs contributions respectives façonnent l’hypnose contemporaine, créant un équilibre entre théorie et pratique, entre recherche et application clinique.

Cette période marque la transformation définitive de l’hypnose, qui passe du statut de pratique controversée à celui d’outil thérapeutique reconnu. Les protocoles développés par ces pionniers servent encore de base à de nombreuses pratiques actuelles.

L’hypnose classique : Une diversité d’approches

L’hypnose classique est souvent décrite comme directe et autoritaire, car elle repose sur des ordres clairs du praticien vers le sujet. C’est particulièrement vrai pour certaines figures comme James Braid, Charcot et Dave Elman, qui utilisaient des inductions rapides et directives.

Cependant, Bernheim et Liébeault adoptent une approche plus souple, bien que toujours classée dans l’hypnose classique. Leur méthode repose sur la suggestion verbale progressive, où le patient est guidé sans contrainte.

Deux tendances au sein de l’hypnose classique

  1. L’hypnose autoritaire et directive
    • Charcot : Inductions spectaculaires, focalisation sur les hystériques.
    • Braid : Fixation du regard et approche physiologique.
    • Elman : Hypnose rapide et médicale.
  2. L’hypnose suggestive et douce
    • Liébeault & Bernheim : Hypnose accessible à tous, basée sur la suggestibilité naturelle.
    • Janet : Exploration du subconscient sans contrainte excessive.

L’évolution vers l’hypnose ericksonienne ne consiste donc pas seulement à s’éloigner de l’autorité, mais aussi à affiner les méthodes de suggestion et d’adaptation au patient en développant une approche plus souple, individualisée et conversationnelle.

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